U.S. Crude Benchmark Pops 2.5% on Summer Demand, Geopolitics
Les prix du pétrole brut ont chuté suite au rapport de l'Energy Information Administration indiquant une diminution estimée de 4,2 millions de barils pour la semaine se terminant le 24 mai, tandis que les stocks de carburant augmentaient.
La figure des stocks de pétrole brut comparée à une légère augmentation de 1,8 million de barils la semaine précédente et à l'estimation de l'American Petroleum Institute de 6,5 millions de barils de stocks à la baisse pour la semaine se terminant le 24 mai, rapportée le mercredi.
Les stocks d'essence ont augmenté de 2 millions de barils lors de la dernière semaine précédant le début de la saison estivale de conduite, la production s'élevant en moyenne à 10 millions de barils par jour.
Ces chiffres sont comparables à une légère diminution des stocks de 900 000 barils pour la semaine se terminant le 17 mai, la production moyenne étant de 10 millions de barils par jour.
Pour les distillats moyens, l'autorité a estimé une augmentation des stocks de 2,5 millions de barils pour la semaine se terminant le 24 mai, la production moyenne étant de 5 millions de barils par jour.
Cela se compare à une légère augmentation des stocks de 400 000 barils la semaine précédente, avec une production quotidienne moyenne de 5,1 millions de barils.
Entre-temps, les prix du pétrole ont baissé. Les traders semblent hésiter entre des attentes de demande plus faible et une incertitude quant à la suffisance de l'offre.
Les préoccupations en matière de demande ont été renforcées hier par un intérêt tiède des acheteurs pour les dernières émissions de bons du Trésor américain. Il s'agissait ici de la troisième émission peu attrayante en deux jours, suggérant une surabondance et une demande moindre qui en résulte.
Les attentes en matière d'approvisionnement sont liées à la certitude quasi absolue que l'OPEP+ prolongera ses coupes volontaires de production pour le second semestre de l'année. Si ce n'est pas le cas, les prix chuteront, et l'OPEP+ le sait.
Pendant ce temps, une nouvelle attaque des Houthis contre un navire en mer Rouge renforce les soupçons que la circulation normale par le canal de Suez n'est pas près de reprendre, alors que la prise de contrôle par Israël de la frontière de Gaza avec l'Ãgypte suggère que la guerre là -bas n'est pas sur le point de se terminer non plus, avec à la clef, le risque d'escalade qui pourrait compromettre l'approvisionnement en pétrole du Moyen-Orient.
Par Irina Slav pour Oilprice.com
Irina is a writer for Oilprice.com with over a decade of experience writing on the oil and gas industry. More
Les marchés attendent les données sur l'inflation alors que les prix du pétrole continuent de grimper.
Le pétrole baisse suite à une augmentation inattendue des stocks.
La hausse des prix du pétrole se poursuit en raison de craintes d'une escalade significative dans le conflit Israël-Liban.
Un sentiment haussier se manifeste sur les marchés pétroliers alors que les inquiétudes concernant la demande s'estompent.
L'activité de forage pétrolier et gazier aux États-Unis connaît une chute vertigineuse.